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Then you go and cut me down, but wait ♕ Blair B. Blackwell
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Then you go and cut me down,
but wait

avec blair b. blackwell
Assis sur son divan dans sa robe de chambre d'un noir ébène, Quincy tenait une coupe de vin, tentant de faire passer le temps du mieux qu'il pouvait, tentant de calmer son impatience qui se faisait de plus en plus grandisante. Il faisait rouler son verre, observant la robe rouge tourner sur la transparence, un rouge normalement bien vif qui, à la lueur de la lampe ouverte dans son salon, semblait plus pourpre. Rubben était en train de dormir à côté de lui, il avait cédé aux bras de Morphée après plusieurs minutes de caresses intensives, car au lieu de pianoter contre le fauteuil, Quincy avait passé ses nerfs sur le pelage de sa bête telle une boule anti-stress. Il détestait l'idée que ce sentiment allait lui provoquer des rides prématurés, détestait l'idée que son stress pouvait lui faire apparaître des cheveux blancs et ainsi, il prenait une nouvelle gorgée, alors que la bouteille trônait sur la table basse, à présent vide.

Ses doigts pianotaient sur son téléphone, envoyant un nouveau message à son meilleur ami, le menaçant à nouveau, mais de façon plus précise cette fois. Bien qu'il avait eu du plaisir à voir l'Évoli devenir un Mentali, bien qu'il avait aimé jouer avec le nerfs de Leslie, Quincy était en furie que Blair ait pris la fuite et que la seule réponse qu'il avait de lui depuis, était un simple virement lorsqu'il avait menacé d'appeler la police. Après le départ de son client, il avait fermé la boutique et était monté à l'étage en espérant que Blair s'y était réfugié, mais c'était le silence. Il avait mangé un repas seul, il lui avait écrit un texto de l'appeler dès que possible, il avait soignement brossé les palets de son Keunotor puis avait envoyé un autre message, puis un autre et un autre. Il y avait eu des appels, toujours sans réponse.

Une partie de lui craignait qu'il était dans les bras de Leslie à l'heure actuel et même si ça avait été le cas, cela aurait été bien normal. Après tout, il savait que Blair avait de l'affection pour le jeune homme, que leur histoire n'avait jamais vraiment été terminé, qu'il avait entre eux du plaisir sans réel attachement. Mais le Blackwell était le sien, c'était son beau brun avec qui il partageait ses draps. Bon, ce n'était pas le seul, mais ce que Quincy aimait, c'était de posséder des choses, d'avoir l'absolu sur eux et les règles qui s'appliquaient aux autres n'étaient jamais bonne pour lui. Égocentrique jusqu'à la moëlle, il ne s'en était jamais caché. Ainsi donc, buvant une gorgée de vin, il avait envoyé un dernier message à Blair, lui intimant de se présenter avant vingt-deux heures ou il donnerait son adresse à la police et se ferait plaisir d'inventer une belle histoire pour qu'il passe la nuit ailleurs que dans son lit. Il voulait des explications, il voulait des excuses pour s'être fait laisser ainsi, il voulait des excuses pour son comportement devant un client. Parce que ce n'était pas Leslie qui avait ouvert la porte, la situation aurait été toute autre et Quincy était furieux. C'est alors qu'un bruit de porte se fit entendre, un grincement léger et c'est avec un air bête que le toiletteur l'accueillit.

c'est pas trop tôt.

allô la police !

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THEN YOU GO AND CUT ME DOWN, BUT WAIT
FT. quincy


Pokémons Présents








Blair a le téléphone qui explose en notifications. De qui? Il préfère ne pas savoir, alors c’est avec un œil fermé qu’il navigue l’appareil, en faisant fit des messages intempestifs, pour atteindre l’application bancaire novabienne. C’est que dans son escapade, il s’était souvenu qu’il avait pris la fuite sans payer et même si Quincy était son meilleur ami, il méritait tout de même de se faire payer. Alors Blair le paie, y ajoute même un petit tip sachant fort bien que cette attention ne sera pas suffisante pour se faire pardonner. Alors, Blair avait des airs de miaouss errant lorsqu’il déambulait les rues de Port-Divitia à la recherche de… à la recherche de rien en fait, car la tranquillité d’esprit qu’il souhaitait n’était simplement pas accessible. Finalement, c’est lorsqu’il jette un coup d'œil à l’heure qu’il aperçoit le spam de Quincy et il se mouille à lire le message qui se trouve à être une menace.

Blair connaissait bien son chemin pour naviguer la demeure du toiletteur alors, quand il arrive, il fait glisser lentement la porte pour limiter le bruit; le portrait qui se dessine sous ses yeux le surprend, mais juste un peu, c’est que la Queen a des airs de vilains, avec sa coupe de vin à la main. Blair le regarde et ne sait pas trop quoi faire sauf se frotter l’arrière de sa tête, jusque parce que ça créer une diversion. Au fond, il ne sait pas ce que Quincy attend de lui exactement, mais tout comme Quincy, Blair est égocentrique. Lentement, il retire son manteau qu’il laisse traîner dans l’entrée, il retire également ses bottes avant de faire son chemin jusqu’à son salon. Il prend place sur les genoux du toiletteur avec la même aisance qu’on aurait avec une chaise; il passe un bras autour de son cou alors que son visage s’enfouit dans la nuque dégagée avant de caresser la peau de ses lèvres. Si Blair ne dit rien de plus, ses intentions sont claires.
uwu
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Then you go and cut me down,
but wait

avec blair b. blackwell
Ses mots avaient été froid, avec juste assez de colère, sans exagérer pour une fois. Il ne voulait tout de même pas que Blair rebrousse chemin en ayant peur pour sa peau après toutes ses attentes. Quincy pensa même à se lever pour verrouiller la porte derrière lui, mais non seulement le geste aurait été inquiétant, mais surtout inutile. Blair avait assez d'intelligence pour s'enfuir, il venait de le prouver un peu plus tôt. Pourtant, il était en train de lui prouver qu'il en manquait. Le torse du toiletteur se gonfla sur son inspiration et il bloqua son souffle en observant la scène devant lui, en voyant son ami laisser traîner ses vêtements au sol alors que son manteau pouvait aller sur le crochet et que ses bottes sur le tapis pour ne pas que la neige devienne une mare d'eau sur son plancher de bois. Il expira fortement en plissant les yeux d'un regard plein de jugements, brillant d'une pointe de seriously?. Il avait envie de lui lancer son verre, de lui crier de se ramasser, mais Blair sait ce qu'il fait, il le sait trop bien.

Sans gêne, il s'assoit sur les cuisses du brun et trouve son chemin vers son cou. Naturellement, Quincy penche la tête du côté opposé, lui donnant un accès facile, fermant les yeux sous la chaleur des lèvres sur sa chair. Il expire doucement, déconcentré pendant un instant. Sa main libre prend place sur la cuisse de Blair, remontant lentement vers son fessier et redescendant vers son genou pour remonter vers l'intérieur de sa cuisse, s'arrêtant avant d'atteindre l'entre-cuisse. Son autre main, quant à elle, dépose la coupe sur une surface, peut-être la table basse, peut-être le sol, Quincy n'en sait trop rien, il se contente de la laisser là où elle semble tenir pour enfouir ses doigts dans la chevelure de son meilleur ami, le forçant à sortir son visage de sa nuque et l'approchant du sien. Leurs souffles peuvent se mêler, il y a cette tension entre ses lèvres et les siennes, mais son regard lui, n'a pas changé. Il murmure doucement, comme s'il ne voulait pas réveillé le Keunotor qui roupille sur un coussin près d'eux, il murmure si près de lui que leurs lèvres se touchent presque.

tu penses t'en sortir si facilement?

Il s'approche un peu plus, écrasant ses lèvres qu'il aime tant, appréciant leur douceur avec une pointe d'aggressivité. Et soudain, il le pousse, le projetant de ses jambes vers le plancher. Sur son trône, le roi lève un sourcil avec ce sourire provocateur, avec cet air hautain qu'il sait si bien faire. Il le prend de haut, sans aucun doute. Parce que pour lui, Blair doit se faire pardonner.

ce n'est pas ta place.

Non, en ce moment, Blair ne mérite pas ses cuisses comme fauteuil. Il ne mérite pas non plus de prendre place dans son lit. Il lui doit explication. De sa pantoufle, Quincy pose son pied sur le torse de Blair et appuie sur lui, pas assez pour l'écraser, pas assez pour le faire bouger, mais juste pour imager ses propos. Tu es à mes pieds que Quincy essaie de dire sans prononcer de mots.

qu'as-tu à dire pour ta défense?

pas de manière ce Blair.

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FT. quincy


Pokémons Présents








C’est que l’espace d’un moment, ce baiser a le goût d’un trophée, d’une victoire à l'arraché et Blair pense, de façon peut-être idyllique et un brin naïve, qu’il s’en est tiré, que les désirs de Quincy  (de sa reine du soir) l’emporte sur la raison. Sous la fougue de lèvres en unisson, il se permet un sourire qui s’estompe bien rapidement quand la chaleur de l’homme dans ses bras laisse place à frigidité d’un plancher un peu trop bien ciré. Et si Blair a le plafond qui se peint lorsqu’il ouvre les yeux, il n’a pas de mal à imaginer le visage de l'autre se mouler au rythme de ses mots. Ça le fait un peu rire, tout de même, d’être là, aux pieds d’un homme qu’il a bafoué alors que ce même homme n’a de cesse de l’utiliser. Mais le rire meurt bien rapidement quand le pied qui se pose sur sa poitrine envoie un message clair. En un mouvement, il se redresse. Assied sur ses fesses, il regarde Quincy et dans ses yeux, il n’y a pas de défiance, seulement de la résignation, celle d’un fou. Puis, il y a le rire qui l’accompagne. « Croyais-tu vraiment que ça se passerait autrement? » Lentement, il y a sa main qui entoure la cheville de la reine et qui la repousse doucement. Blair n’avait aucune défense et étrangement aucun regret, car si c’était à refaire, il le referait. Mais, il fallait tout de même se faire pardonner. « Néanmoins, comment ce fou peut-il se faire pardonner auprès de sa Majesté? »
uwu
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avec blair b. blackwell
C'est qu'il prend plaisir de la situation, qu'il apprécie de le voir à ses pieds. Parfois les rôles s'inversent, mais ce soir, c'est lui qui tient les rênes et il savoure chaque seconde. En gardant son pied sur le torse de son beau brun, il reprend sa coupe de vin, prenant une nouvelle gorgée en se penchant vers l'avant, s'assurant que les pans de sa robe de chambre sont bien fermés. Ce n'est pas qu'il est pudique, mais il n'avait pas envie de dévoiler qu'il l'attendait en tenue d'adam. Ça n'aurait rien de surprenant, mais il était hors de question qu'il admette qu'il avait déjà des idées en tête pour la fin de cette soirée. Son pied se promena de haut vers le bas.

à combien de souhaits ai-je le droit, mon génie? Au moins trois, je suppose.

Il se réinstalla dans son trône, son pied quittant le torse de son esclave pour une nuit et il croisa ses jambes d'un geste élégant. L'index sur le menton, Addams faisait mine de réfléchir avec ce sourire mesquin, ce sourire joueur, celui qui se demande qu'est qu'il peut bien espérer.

d'abord, mes épaules sont plutôt tendus après les soins que j'ai donné à Pozëmka. puis à Leslie. D'ailleurs, tu as apprécié ma surprise?

Et il sourit, de toutes ses dents, de ce rictus charmeur, de ses yeux plein d'arrogance. Il manquait de précision, mais il avait hâte de voir ce que Blair dirait à ce sujet. Allait-il rebondir sur le fait qu'il avait dit Leslie et non Peter. Blair allait-il se demander qu'est qui s'était passé dans ce salon après sa fuite? Allait-il croire que la surprise était la petite dance qu'il avait fait? Ou comprendrait-il qu'il faisait référence à ce magnifique mentali qui avait rempli la petite bête brune?

clown face

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FT. quincy


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Blair n’a pas besoin du pied qui parcourt son torse pour se sentir comme une merde; alors qu’il attend sagement les inscructions de son monarque, il réajuste sa posture de sorte à qu’il soit un peu plus confortable. Puis, Quincy retire son pied et Blair lève les yeux au ciel -ou plutôt vers le plafond de la résidence, avant de commencer à se relever tranquillement et de se diriger vers son monarque. En chemin, de ses doigts, il indique trois, avant de l'officialiser de sa voix : « trois, Maître. Seulement trois. » Mais ce nombre était la norme et pour Quincy, c’était amplement suffisant, surtout que le connaissant, le brun pouvait soit lui demander un massage ou soit lui décrocher la lune; il n’y avait pas de juste milieu. Blair s’approche du trône, se place derrière en fait avant de craquer la jointure de ses doigts et de poser ses mains froides contre la nuque du toiletteur. Les mouvements sont tantôt doux, tantôt plus fermes et sur son passage, on peut entendre des craquements ici et là. Sur le cou dégagé, il dépose un baisé, c’est rapide, c’est papillon. Puis, il en dépose un autre et cette fois c’est un peu plus langoureux; il tease. Puis il se retire et ses mains s’affairent au dos endoloris, probablement à l’image du sien. Peut-être que la mention de Leslie était intentionnelle, et si Blair l’a bien relevé, il n’en montre pas de signe.

C’est que c’est clair, comme le soleil en plein été que son roi d’un soir cherche la réaction; et s’il le prive d’une réaction, il ne sait tout de même pas à quoi réfère la surprise. Sans doute n’était-ce pas l’arrivée de Leslie. Sans doute n’était-ce pas non plus… Peut-être était-ce Pozëmka? Elle était rayonnante, rose et non brune et à son cou, un ruban complimentant son teint. Et Blair reconnaissait bien là, la minutie du toiletteur. « Sa Majesté a des doigts de fée; je ne peux qu’être émerveillé par le travail réalisé. Pozëmka est resplendissante. » Pendant qu’il parle, il a les mains qui remontent de la taille et les pouces qui cerclent la nuque en petit mouvement. Et peut-être est-ce parce qu’il se doute que Quincy a autant envie de débauche qu’il en a envie qu’il marque la peau dénudée.
ouais c'est que t'es un clown
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avec blair b. blackwell
Il pourrait exiger d'avoir plus de souhaits en le demandant comme l'un de ses trois dons, mais il ne le fit pas, parce que certaines choses qu'il désirait, Blair pouvait déjà le lui donner en temps normal comme ce massage qu'il avait réclamé. C'était un souhait perdu, mais un bien nécessaire. En voyant Blair s'approcher, il avança ses fesses sur le bout de son fauteuil, lui donnant l'espace nécessaire pour avoir accès à son dos en entier. Il déposa sa coupe, maintenant vide, sur la table basse et ferma les yeux, appréciant chaque geste. Les mains de Blair étaient chaudes, délicates, mais imposantes à la fois. Il savait ce qu'il faisait et il le faisait bien. Ce n'était pas à douter, avec les petits sons que Quincy émettait ici et là, sous chaque baiser, sous chaque caresse. Or, lorsque Blair commença à marquer sa peau, Addams eut un mouvement de recul et se releva d'un bond, son épaule droite se décachant sous le mouvement, dévoilant une parcelle de nudité.

ah non, pas ça. j'ai lu l'autre jour que ça pouvait faire des caillots. imagine que ça reste dans mes vaisseaux et que ça arrive au cerveau et que je fasse un avc et que ..

Il s'arrêta dans ses pensées, paniqué soudainement, changeant l'ambiance que Blair avait installé. Du vin, c'est ce qui lui fallait. Plus de vin, c'était bon pour le système sanguin. Il n'y avait pas vraiment de logique, mais voilà que Quincy était paniqué, tout simplement. Hypochondriaque, ce n'était pas à oublier. Alors, il se rendait dans la cuisine, son verre à la main et en prit un deuxième pour son invité. Il prit une nouvelle bouteille dans le réfrigérateur et l'ouvrit. Le toiletteur tentait de verser le contenu dans la coupe, mais il n'y arrivait pas. Sa main tremblait et il reposa la bouteille sur le comptoir, n'osant pas en perdre une seule goutte. Il sentait un mal de tête soudainement et ses mains se portèrent à ses tempes pour les masser alors qu'il s'appuyait sur ses coudes sur le comptoir. Est-ce que Blair avait créé sa fatalité? Est-ce que le désir emporterait sur sa vie? Peut-être devrait-il aller à l'urgence, passer un scan, juste pour être sure qu'il n'y avait pas un caillot en train de créer des dommages dans son cerveau? Il tenta les trucs qu'on lui avait appris. Lever les deux bras en l'air pour ne pas être en incapacité, check. Il était capable d'agir du côté droit et gauche. Dire une phrase simple pour s'assurer qu'il n'y a pas de trouble de la parole, check.

viens ici, gros bêta.

Ensuite, vérifier s'il y a un affaissement dans le visage. Quincy observa Blair droit dans les yeux et se mit à sourire, d'un sourire exagéré et pointa la commissure de ses lèvres de ses index.

est-ce que je souris égal?, lui demanda-t-il en bafouillant un peu ses mots, n'osant pas briser son sourire en parlant.

bouton panic hypochondriaque on.

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C’est qu’on arrivait à la meilleure partie et Quincy la gâche de la pire des façons; Blair roule des yeux, comment pouvait-il exaucer les souhaits si on lui mettait des bâtons dans les roues. Ses mains quittent la chaleur du corps de l’autre pour choir à ses côtés, il regarde Sa Majesté filer en cuisine pour calmer ses nerfs avec de l’alcool. Parfois, Blair se demande ce qu’il lui trouve, mais semblerait qu’environ dix ans de côtoiement érode même les pires défauts. « Ça serait triste, » il dit sans tristesse. « Il te reste quand même deux vœux. » En réalité, il n’aimerait pas perdre Quincy, mais il préfère ne pas le dire. Autant Blair comprenait la peur, comme lui avait peur du feu, il comprenait plus ou moins le mal qui accablait sa date du moment, qui en cuisine, semblait avoir du mal à verser une coupe de vin. On l’appelle et il va le rejoindre. « Donc pas de suçon, » Blair dit un peu platement, portant le vin à ses lèvres et faisant une grimace; il était plus un homme de cocktails. « A-t-on besoin d’aller faire un aller-retour à l’hôpital? » C’était vraiment plus pour être sûr et non parce qu’il avait une réelle envie d’aller aux urgences.

Puis, finalement, il s’arrête deux secondes et contemple le sourire forcé de l’autre, il hausse un sourcil, bouge la tête afin d’admirer tous les angles avant de décréter : « t’as le plus beau des sourires, mec. » Enfin, après celui de Leslie, mais il n’avait pas le courage de l’énoncer à haute voix, d’une part, penser à Leslie voulait dire penser à l’éventuelle confrontation qu’il y aurait entre eux et d’une autre, ça ruinerait l’ambiance déjà très ruinée. « Je suis peut-être un génie, mais même ma magie ne suffira pas à rétablir le mood. » Sauf ça, peut-être, lorsqu'il quitte sa position pour diminuer la distance entre eux et qu'il l'enlace, le serra contre lui et lui massant le dos de sa main. « T'es vraiment une p'tite bitch. » Dur et doux, tout comme leur relation.    
omg quincy
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Sa main tremblote encore alors que Blair vient le rejoindre dans la cuisine. Il se sent un peu idiot à sourire ainsi, à faire sécher ses dents, parce que Blair prend son temps à répondre à la question. Parce qu'il se sert un verre, parce qu'il parle et Quincy insiste, pointant de plus bel ses gencives, attendant une réponse pour se calmer. Puis, les mots qu'il voulait entendre sont musique à ses oreilles et il termine ce supplice pour ses joues, fermant la bouche, l'égo flatté ses beaux mots. Doucement, il prend la bouteille, son tremblement s'étant calmé, et se prend un nouveau verre puisque Blair ne s'était servi que lui. Son meilleur ami se glisse derrière lui et reprend son massage. Quincy inspire, expire et se détend à nouveau, laissant l'arrière de son crâne aller se reposer contre l'épaule de son esclave pour la soirée.

majesté la petite bitch, s'il te plait., qu'il murmure en riant.

Même s'il avait gâché l'ambiance avec sa panique, les douces mains de son masseur savaient tout de même ce qu'elles faisaient et la situation n'était plus autant tendu. Laissant la coupe sur le comptoir, Quincy se retourna, appuyant son dos contre l'îlot. Ses mains allèrent trouver les hanches de Blair qu'il attira vers lui, lui volant un baiser avec de réclamer son deuxième souhait.

ensuite, je veux que tu m'expliques ce qui t'es passé par la tête.

L'ambiance était revenue qu'il la gâchait à nouveau avec ses questions, mais il avait envie d'avoir des éclaircissements. Après tout, c'était pour ça qu'il était en furie contre son ami. Et puis, il avait aucun doute que l'ambiance pouvait facilement se refaire, il lui suffisait d'ouvrir sa robe de chambre et de gambader vers son lit où un couverture en poils d'Ursaring attendait, pour reproduire tout cliché nécessaire. Quincy glissa ses mains dans les poches arrières de Blair, l'empêchant de pouvoir prendre la fuite, s'assurant qu'il resterait près de lui. L'une de ses mains glissa sous son chandail, reproduisant ce que le brun avait fait dans son institut de beauté. Ses lèvres se mirent à tracer un chemin de baiser sur sa gorge, remontant vers sa mâchoire puis ses oreilles où il s'arrêta, se retenant de mordiller le lobe.

tu sais que je t'aurais arraché la tête si ça avait été un client que tu ne connaissais pas.

omg blair

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FT. quincy


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« Pardon, votre majesté la p’tite bitch, »  ironise-t-il, sourire ornant ses lèvres. C’est qu’il est quand même soulagé qu’il n’ait pas besoin d’apporter sa reine à l’urgence, sa crise s’étant calmée suite au second massage. Puis, il a envie de l’aimer, de lui donner de l’attention, mais Blair hésite, car ça serait con de déclencher une nouvelle crise par un faux pas alors il ne fait rien, se disant que Quincy, maître de la soirée, guiderait le rythme de leur danse. Sans doute est-ce la meilleure alternative, car le brun ne perd pas de temps à poser ses mains sur ses hanches et Blair suit le mouvement, accueille même le contact des lèvres sur les siennes, mais c’est court et ça laisse sur la faim. Et si l’ambiance se refroidit, ça ne l’empêche pas quémander un nouveau baiser, cette fois, un peu plus désespéré, un peu plus needy, un motivateur. Ce n’est que lorsqu’il rompt le contact qu’il prend note des mains qui le retiennent, comme un oiseau en cage, comme un moyen de sécurité et c’est que Quincy apprend de ses erreurs. Mais de toute façon, Blair n’a pas envie de fuir, en tout cas, pas pour le moment, pas alors que Quincy le couvre d’attention et il le fait bien, si on en croit les gémissements de satisfaction qui s'échappent du plus grand. Finalement, il y a ses bras qui l'entourent, qui le serre un peu plus fort, qui l’encouragent de continuer.

« Hmhm, c’aurait été une alternative préférable, je pense. »  Moins désastreuse et puis, mort, il n’aurait pas eu à fuir, il n’aurait pas à faire face à Leslie. Éventuellement. Il ramène ses mains au col du peignoir, glisse ses doigts pour dénuder l’épaule où avait fleuri un début de quelque chose. « Tu es fâché? »  Ou l’est-il encore? La question est assinine, elle ne sert qu’à prolonger l’inévitable. Puis il soupire. « Rien de très profond; je me suis simplement dit que l’instant était parfait pour montrer à l’univers que, pendant cet instant, tu étais à moi. » C’est honteux, mais il l’assume. Il l’assume bien plus qu’être parti. « Je me suis sentie coincé, »  il ajoute après un moment, au cas où Quincy faisait référence à la fuite. Depuis le temps qu’ils se connaissent, il devait bien savoir que c’était là un trait qui définissait bien le brun. « Dernier souhait, maître? »    
👀
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Sa bouche s'éloigne de l'oreille de Blair, préférant avoir le visage face à lui, ses yeux plantés dans ses prunelles pour voir sa réaction, entendre ses mots, essayer de comprendre. Quincy fait la moue, attendant une explication valable. Une moue qui se détend sous les doigts de son ami avec bénéfice. Il soupire alors que l'une de ses mains lâche sa prise, glissant vers son visage, caressant sa joue avec son pouce avec douceur et calme, frôlant les contours de la cicatrice de son ami, de ses imperfections qui le rendaient unique, qu'il appréciait.

c'est difficile de t'en vouloir longtemps.

C'est qu'il est un peu fleur rose par moment, surtout avec Blair. Parce que ce qu'ils ont ensemble est unique. Leur relation est si simple, sans casse-tête, chacun prend de l'autre ce qu'il veut, ce dont il a de besoin, avec quelques confrontations ici et là, mais jamais rien qui n'est venu tâché ce tableau. Enfin, presque rien. Parce que depuis que Leslie est revenu, Quincy se sent menacé. Quincy sent qu'il n'est plus le premier et ça, ça le dérange. Mais, oserait-il s'expliquer à son ami? Bien sûre que non. Il n'a pas envie d'être vulnérable face à lui, pas émotionnellement du moins. Seulement physiquement, de céder sous ses caresses, comme en ce moment où il glisse ses doigts pour dénuder son épaule, laissant un frisson parcourir le brun.

mais, ne recommences pas. la prochaine fois, je vais être plus difficile à calmer.

Le niveau de difficulté avait été assez bas pour cette fois, parce que le vin avait calmé la tempête, parce que ses doigts avaient ramolli le volcan en éruption, parce que le temps avait permis de calmer sa frustration. Quincy aurait aimé voir la confrontation entre les deux hommes, mais Blair s'était enfui, le privant de ce plaisir. Quincy aurait aimé voir sa réaction devant son Mentali, mais ça aussi, il l'avait manqué. Il ne lui restait que les réactions de Leslie en souvenir et ça, il ne l'aurait pas eu si Blair ne s'était pas lâchement enfui. Et cette carte, il la gardait pour plus tard, pour voir comment son ami réagirait. Le toiletteur noua ses bras derrière la nuque du tatoueur, son bassin toujours coller contre le sien et approchant ses lèvres pour lui voler un court baiser, refusant de lui donner la longue étreinte qu'il semblait tant désiré.

hum. ton maître aimerait un oeuf d'évoli. pozëmka est bien mignonne et ça m'éviterait d'aller me salir dans la forêt de sapins gommants.

Il ne voulait pas nécessairement un mentali comme son ami, il ne savait pas trop encore quelle évolution de la bête il aimerait, mais ça lui permettrait d'agrandir son équipe et un pokémon de plus lui permettait d'être plus prêt d'une victoire. Après tout, n'y avait-il pas un défi derrière tout ça? Lentement, il retira ses bras de son génie, puisque les trois souhaits étaient fait et il se tourna, lui faisant dos, pour prendre sa coupe de vin et apprécier ce nectar qui enivrait lentement son esprit.

ton .. il ne savait pas comment définir leur relation. ami? qu'est que tu vas faire? Il semblait assez.. furieux? non, plutôt sous le choc.

Il hésite un peu à poser la prochaine question. Non pas par gêne, mais parce qu'il n'est pas sur d'avoir envie de connaître la réponse. Parce que les mots de Blair pourrait changer le court de la soirée. Néanmoins, Quincy prend son courage, accompagné d'une autre gorgée, et détourne le regard, bien que son ami ne peut pas le voir, fixant le plancher. Il tente de prendre un ton nonchâlant, comme s'il ne se préoccupe pas, comme s'il n'y avait que curiosité derrière ses mots, mais il y a cette pointe de jalousie, cette pointe d'envie.

c'est parce que tu étais avec lui que tu as pris du temps à venir ici?

told me i am the only one.

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FT. quincy


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C’est qu’il a l’impression d’être fait de porcelaine lorsque Quincy le touche avec attention et délicatesse, c’en est agréable autant que c’en est frustrant. Il pose sa main sur celle qui effleure sa joue, les doigts se replient délicatement, il la porte à ses lèvres et vénère le bout de ses doigts. « Hmhmm… » Autant était-il content de s’en sortir facilement, autant ça le dérangeait; c’est que Leslie aussi semblait ne pas pouvoir lui en vouloir longtemps et pourtant, Blair pense ne pas mériter cette facilité. Mais l’inverse est aussi vrai; autant Quincy que Leslie, il ne peut leur en vouloir très longtemps. « Tu sais bien que je ne peux pas te promettre une telle chose, » il recommencerait s’il pouvait, encore et encore. Outre son nom, c’était bien là une autre chose qu’il avait hérité de son père. « Et quand ça arrivera, » car ça arrivera, « je tâcherai de me faire pardonner plus fort, » il souffle contre les lèvres qui se faufilent une fois de plus. « Vos désirs sont des ordres, » il l’aura son œuf, éventuellement. En attendant, Blair s’affaire à dénuder l’autre épaule en manque d’attention, le peignoir est retenu par les avants-bras et il admire les clavicules dégagées. Puis, finalement, Blair a les mains qui cascadent le corps du brun, une main s’arrête pour tracer le relief de son thorax avant d’aller rejoindre l’autre. Elles s’arrêtent aux fesses du toiletteur et d’un mouvement sec, elles le soulèvent afin qu’il prenne place sur le comptoir.

« Mon… ? Oh. » Et juste comme ça, il le lâche, se recule un peu avant de se devancer et de saisir sa propre coupe de vin qu’il boit cul-sec. C’était dégueulasse, mais de toute évidence, Blair était encore trop sobre pour parler de son autre brun. « Furieux? » Comme une incantation, le mot a un brin de colère, mais il ravale sitôt que sa coupe se remplit à nouveau. « Je ne vois pas pourquoi il serait sous le choc, il a bien eu une ex, j’ai le droit à mes aventures aussi, non? » En réalité, il voyait, mais refusait de le voir. Mais il n’avait pas menti, il lui avait bien dit qu’il avait ses fréquentations, seulement, elles n’étaient pas dignes de mention. Blair a un petit sourire lorsqu’il pose sa coupe. « Rien. » Il n’allait rien faire. Il entoure Quincy de ses bras, serre sa taille et enfouit son visage dans le torse de l’autre.

Mais Quincy a le don de poser des questions qui ruinent l’ambiance. Et la question le choque un peu. « Ah… tu me donnes un peu trop de crédit. Mais non, je n’étais pas avec lui. » Il était en train de paniquer, d'angoisser… de dessiner dans le café du coin. De tuer le temps. « Peut-on ne pas parler de lui ? »
stooooooooooooooop it
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but wait

avec blair b. blackwell
Un petit cri de surprise s'échappe de sa bouche en se faisant soulever du sol et par le froid du comptoir sur sa peau. Sous le geste, le peignoir glisse un peu plus, dévoilant jusqu'à son nombril sous laquelle se trouve la ceinture qui empêche de voir le restant de sa tenue d'Adam. Est-ce que Blair savait que rien d'autre que ce tissu ne le séparait de sa nudité? Probablement, il ne fallait pas la tête à Papineau pour le comprendre. Quincy hochait de la tête face à ses paroles, tout à fait d'accord qu'il ne devait rien à Leslie, il n'avait pas lui exposer son passé ou ses relations actuelles puisqu'il venait de se retrouver et ne lui devait rien, bien qu'il l'avait abandonné dans le passé. Et puis, Quincy ne pouvait pas le cacher : ça lui faisait plaisir d'être le dirty little secret que Blair n'avait pas révélé, d'être la petite bombe qui venait de faire éclater ce renouveau.

peut-être que j'y suis pour quelque chose...

Il n'ajouta rien de plus, laissant du suspence, mais il avait sur son visage ce sourire, comme un enfant qui avait fait un mauvais coup et encore, il n'avait pas fini de jouer avec Leslie. Il espérait bien le recroiser et pousser le bouchon encore plus loin. Or, cette partie, il la gardait pour lui, ne voulant pas que Blair quitte son appartement comme une tornade, parce qu'il avait envie de lui, de sa compagnie, de sa chaleur, de son amitié et de bien plus, comme toujours. Son regard revint sur son ami lorsqu'il confirma qu'il n'était pas avec le brun avant d'arriver ici et il eut envie de lui demander où il était alors, mais Blair ne lui devait rien, à lui aussi, alors Quincy hocha la tête, acceptant sa requête. Ses mains se nouèrent derrière son cou, l'attirant vers lui, penchant la tête pour l'embrasser, savourer, glissant sa langue tel le serpent qu'il était avant de rompre le contact.

et donc, monsieur le fugitif, as-tu pris le temps de souper avant de venir ici? t'as envie que je te serves quelque chose à manger ? Il eut un sourire coquin avant de poursuivre. de la vraie nourriture, je tiens à préciser. je ne suis pas sur le menu. Et il s'approcha de son oreille, la couvrant de petits baisers. ou alors, tu as peut-être envie de partager un bain, pour bien te détendre après tout ce stress...

peut-être.

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THEN YOU GO AND CUT ME DOWN, BUT WAIT
FT. quincy


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Blair ne dit rien, mais son silence veut tout dire; il débute par qu’as-tu fait et se termine par je ne veux pas savoir. C’est qu’il a décidé, pour son propre bien, que ce qui se passait entre Quincy et Leslie ne le regardait pas. Moins il en savait, mieux il se portait. Après tout, ne disait-on pas que l’ignorance est bonheur? Et si la question de Quincy dénote une certaine insécurité, Blair ne le pointe pas, trop occupé à se perdre dans cette attention qu’on voulait bien lui donner. Il se fait pantin entre les doigts agiles du toiletteur, se laisse embrasser et répond, goûtant l’aftertaste de l’alcool haut de gamme sur sa langue. Il a la déception non dissimulée lorsque son amant d’un soir rompt le contact et le laisse sur sa faim; sans doute que ça se sent dans son mouvement, dans la façon dont il se fait chasseur impatient, dans la façon dont ses bras entourent la taille de l’autre et que son visage s’enfouit contre son torse, oreille sur le coeur; musique de fond accompagnant les mots qui lui sont soufflés.  

Il avait faim. Faim de Quincy, mais on lui refusait, on le faisait languir et c’est que probablement le brun se délecte de l’effet qu’il lui fait. Bien qu’il ne voit pas le sourire qui accompagne les mots, il l’entend dans ceux-ci et il a envie de le secouer, de lui dire que c’est assez, qu’il est temps de passer aux choses sérieuses, de se perdre dans les bras de l’un de l’autre et d'oublier. Oublier que la journée à partiellement été un désastre. Oublier que Leslie les avait vu. Oublier que prendre la fuite l'incriminait plus que s’il était resté.  Puis il a le souffle chaud de Quincy contre son oreille et c’est tentant, cette proposition. Et sans doute que la façon dont il le squeeze contre lui, needy et possessif est la seule réponse dont le toiletteur à besoin. Finalement, les bras se délient, Blair se positionne de sorte à ce que Quincy puisse facilement être manipulé de sorte à ce qu’il puisse être pris bridal-style. Nuptial et platonique. Il l’amène jusqu’à la salle d’eau.  
son bain a intérêt a être grand
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Then you go and cut me down,
but wait

avec blair b. blackwell
Il sent la tendreté de ses gestes, le désir, l'impatience et il savoure. Ses bras se nouent derrière la nuque de son ami qui le porte jusqu'à la salle de bain alors que le bout de ses doigts caressent son visage, caressent les cicatrices, les lèvres avant de traverser ses cheveux en chantant doucement l'hymne de la marche nuptiale. Dans sa robe de chambre de noir, ne ferait-il pas un bel homme à marier? Bien sûre que non. Ce serait à son tour de prendre la fuite, car Quincy n'était pas du genre à s'engager et c'est pour cette unique raison qu'il n'avait probablement jamais fait de pas envers Blair pour officialiser une relation avec lui. La peur de la monogamie, la crainte de perdre sa liberté, le désir de rencontrer, le plaisir de chasser, l'extase du plaisir charnel. Rendu dans la pièce, les pieds au sol, Quincy allume la lumière pour quelques instants, glissant ses mains sous le chandail de Blair, attirant son corps vers lui pour l'embrasser tout en relevant le tissu pour le dénudé. Après tout, c'était la tenue exigée pour prendre un bain.

La pièce où il était représentait bien les goûts luxueux du toiletteur et son plaisir à dépenser sur des choses futiles. Le carrelage d'un blanc marbré était chaud sous les pieds, ayant pris la peine d'investir dans un plancher chauffant, car qui aimait aller faire un pipi nocturne et regretter de s'être levé pour avoir les pieds froids? D'un côté, on trouvait une énorme douche vitrinée, puis une grande armoire dans laquelle se cachait les produits du quotidien, des serviettes d'une douceur remarquable. Les couleurs environnantes étaient douces, contrastante avec la personnalitée pétillante et énergique de l'homme. Quincy se dirigea vers le bain, la pièce maîtresse de cette bathroom, sa grande fierté. Une baignoire pour deux d'un blanc étincellant pour madame Blancheville, sur pattes avec une robinetterie d'un noir mat pour être dans les goûts du jour, dans les tendances du moment. Il y avait un détail dans les pattes qui étaient remarquable, un chef d'oeuvre si vous lui demandez son avis, et les plus observateurs pouvaient voir qu'il s'agissait des pattes d'un suicune, une créature si noble et si magnifique que Quincy n'avait pas résisté. Ainsi donc, Quincy se dirigea vers le robinet pour faire couler l'eau, versant de la mousse à bain dedans, laissant une odeur de vanille enivrée ses narines. Bien qu'il adorait les odeurs boisées comme celles du bois de santal ou du bois de bouleau, celle d'une véritable gousse de vanille restait sa préférée. Et puis, si Blair sentait les petits gâteaux, ça lui donnerait encore plus envie de le croquer.

Parlant du loup, Quincy revient porter son attention sur ce dernier, déboutonnant son pantalon avec adresse, faisant glisser le tissu avant de lui voler un baiser. Il se glissa dans son dos et le dirigea vers le bain presque plein et se mit sur la pointe des pieds pour murmurer à son oreille.

je te laisse t'installer. je reviens vite.

Non pas qu'il allait lui fausser compagnie, bien qu'il avait déjà pris une douche pour tenter de se calmer un peu plus tôt, raison pour laquelle il était déjà en peignoir, mais Quincy était un homme de goût et aussi un hôte appréciant recevoir. Et il ne faisait pas les choses à moitié. De l'extérieur de la pièce, on pût entendre le bouchon d'une bouteille de champagne poppé puis the dramaquenn revint, tirant un petit banc de bois rond faisant office de table basse pour le bain avant d'y déposer deux coupes de mimosa et un plateau déjà prêt qu'il gardait pour un encas sur lequel figurait des fromages fins, des charcuteries, des fraises trempées dans le chocolat et aussi un petit bol de popcorn saupoudré d'assaisonnement au vinaigre, attention spéciale pour Blair, car Quincy n'oserait jamais mangé une telle horreur. Il tira un paquet d'allumettes de son peignoir, alluma une dizaine de bougie déjà réparti autour d'eux - c'est qu'il avait l'habitude de prendre un bain avec ses conquêtes - et éteignit la lumière avant de mettre une petite musique d'ambiance sur son téléphone. Voilà, c'était fin prêt. Était-ce le moment pour Blair de se détendre? Bien sûre que non.

Quincy prit tout son temps pour venir vers lui, tirant très lentement sur le cordon de sa robe de chambre, dévoilant lentement la peau de ses hanches, de son bassin et puis, le tissu noir tomba à ses pieds. Il se glissa dans le bain avec la coupe en main, impossant sa présence entre les jambes de son ami, décidé à l'utiliser comme dossier.

tu sais ce que j'ai fais tout à l'heure pendant que je t'attendais? j'ai parlé avec ma mère au téléphone. je lui ai raconté ce que tu avais fait.

Oui, Quincy n'avait pas fini de s'amuser à briser le mood pour ensuite rallumer la flamme pour souffler dessus à nouveau. Il était amusant de jouer avec l'ambiance et surtout avec Blair. Il n'était pas sans ignorer que la mère de son ami ne l'appréciait pas. Certainement qu'elle lui avait déjà fait des remarques alors que son fils n'était pas dans la pièce, préférant dire à chacun en privé ce qu'elle pensait de leur amitié avec bénéfices, en prenant la peine de faire des guillemets avec ses doigts. Elle n'avait rien contre le fait qu'il était bisexuel, mais était horrifié qu'il ne se stabilise pas.

elle te tient pour responsable qu'elle ne pourra jamais savourer la fête des grands mères. c'est le mois prochain, tu veux venir avec moi?

Il se retourna vers lui, avec ce sourire de clown au visage. La question était tout de même réelle, bien qu'il savait que ça ne plairait pas nécessairement à Blair. Il lui proposait tout de même de se joindre à lui régulièrement, aimant embêté sa mère sur ce détail. Parce qu'elle n'appréciait pas qu'il court jupons et pantalons, parce qu'elle rêvait d'avoir des petits enfants qui iraient se promener à dos de Ponyta avec elle ou jouer à va chercher avec son Rocabot. Il était presque heureux qu'elle ait tout abandonné derrière elle pour venir ici, elle n'avait pas amené les jouets qu'il avait utilisé quand il était bébé, ce qui l'empêchait de lui sortir une boîte de souvenirs et lui rappeler à chaque jour qu'il n'avait pas de progéniture à lui présenter.

tu as pas un ami qui a des enfants? on lui en empruntes un pour la soirée, on fait croire qu'on l'a adopté et puis, voilà, elle sera contente et t'aimera bien. bon plan, n'est-ce pas?

jouons dans les bulles • défi RP 01

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FT. quincy


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Quincy chantonne et ça presque l’air réel. Ce soir, se perdre dans les make-believe est le mot d’ordre et Blair ne pense pas être en tort d’assumer que la Queen dans ses bras a autant envie de lui qu’il a envie d’elle; pour différentes raisons sûrement, mais ce n’était pas important, ce n’était jamais important. Et c’est peut-être pour ça que leur relation fonctionnait si bien; chacun prenait ce dont il avait besoin. Blair répond à son baiser avec l'impatience d’un homme qui a trop attendu et peut-être que Quincy lit sans ses pensées, car il sent les mains de l’autre caresser sa peau l’instant de lui retirer son haut et il le laisse faire pendant que ses propres mains s’affairent à déboucler la ceinture retenant son pantalon. Ce n’était pas la première fois qu’il mettait les pieds dans cette impressionnante salle de bain, et pourtant, il était toujours autant impressionné par son excès et, parallèlement, par la richesse de son hôte. Il y a tant à regarder; à chaque fois, il remarque un nouveau détail et parfois, Blair se demande quel est son numéro dans cette innombrable liste de prétendant.es.

L’hôte revient vers lui et peut-être est-ce parce qu’il a pris trop de temps à penser que le brun se tâche de le libérer de la protection de ses derniers vêtements et l’air fouette la peau nue, le faisant frissonner. Aussitôt a-t-il un pied dans l’eau chaude qu’il sent la tension le quitter, il se sent fondre et rapidement, il trempe dans ce confort sensorielle; les mains reposent contre le rebord de la baignoire et il pose le menton, attendant le brun. Quand il arrive, Blair l’observe se dévêtir, s’attardant quelques secondes de trop sur la finesse de la taille, et sur autre chose. L’ambiance est idéale et quand Quincy le reçoit ainsi, c’est qu’il se pense presque monarque tant le brun fait ça bien. Blair se lève et lui tend la main, il sait bien que le toiletteur n’a pas besoin d’aide, mais c’est pour la grâce du moment, de la galanterie qui semble être de mise. Ce faisant, il lui vole un baiser avant de s'asseoir et de l’accueillir entre ses cuisses, glissant ses mains autour du cou du plus petit et posant le menton contre son épaule. L’ambiance est parfaite pour…

Sauf que sitôt restaurée, elle fuit à nouveau. « Quoi donc, » il lui souffle au creux de l’oreille avant de mordiller celle-ci, pensant que la ministration saura dévier son amant de la pente glissante dans laquelle il semblait bien enclin à dévaler. « Oh. My. Arceus. » Inévitablement, il pousse Quincy, seulement légèrement, histoire de créer une petite distance entre eux. « Génial, » il rajoute. « Déjà qu’elle ne peut pas se passer de moi, alors là, tu viens de lui donner une raison de plus pour m’aimer. Incroyable. » Les mains lèvent au ciel pour retomber dans l’eau, les éclaboussant. Finalement, Blair tend le bras vers le plateau posé non loin et en pêche une fraise qu’il vient porter aux lèvres du toiletteur. « Maintenant, s’il te plait, ferme ta gueule. » Puis, il inspire, imprégnant son intérieur de vanille avant d’expirer. « Ouais, je viens, mais juste pour lui montrer qu'elle ne me fait pas peur. » Les yeux roulent à la mention d’amis, puis d’enfants. Vraiment, Quincy était autant doué pour mettre l’ambiance que pour la retirer. « J’ai autant d’amis que tu en as, au pire on en kidnapper un. » Mais il était vrai que l’idée de se pointer là clouera le bec de sa mère. « Ok, non, il faut vraiment le faire. » Et parce que le message est clair, qu’au fond, le toiletteur ne fait que s’amuser à ses dépends, Blair comprend qu’il doit travailler pour sa soirée. Alors, il ramène ses mains à la nuque du brun et le masse de nouveau, partant du cou et descendant aux omoplates, puis il le ramène à lui. Un main angle son menton de sorte à ce que l’embrasser soit facile d’accès tandis que son autre main glisse sur son torse, puis sur son ventre avant de descendre plus bas et de taquiner la peau. « T’a-t-on déjà dit que tu es magnifique? »
quuuuuuuuuuuuuincy
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