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hold the girl (soren)

:: novabinovabi_{votre nouvelle vie & destination finale} :: Relica - Centre :: Fort-Divitia

Invité

Jeu 10 Nov - 23:06

hold the girl
_{ft. soren}

Pokémons Présents

Vous êtes partis sans demander votre reste. Est-ce que t’aurais du attendre de te faire observer par les ambulanciers ? Oui sans doute. Même que tu aurais probablement du te laisser amener à l’hôpital pour que des soins te soient donnés. Tout ça tu le sais, t’en es bien consciente, mais tu as préféré embarquer sur la Drattak de Soren pour rentrer chez lui. Tu voulais juste être loin de tout ça, loin des horreurs que tu as pu voir pendant les dernières heures. T’as besoin de calme, d’un peu de réconfort et oui, certes de premiers soins, mais ça passe très loin dans tes priorités. La journée s’est déroulée bien différemment de ce que tu avais prévu ou même que tu aurais pu imaginer. T’avais simplement voulu passer une bonne journée avec ton meilleur ami et voilà que tu avais été séparée de lui pendant l’entièreté des tragiques événements. T’avais fini brûlée sur les bras et sur une bonne partie de ton épaules.
Bref autant dire qu’on a vu mieux comme rencard - même si vous ne l’aviez pas défini comme tel. Et ce, même s’il se terminait par une brève balade à dos de Drattak. Tu ne dis pas grand chose pendant le trajet, bien trop épuisée pour ça. C’est l’adrénaline qui te quitte.

Tu peux enfin souffler lorsque vous arrivez enfin chez lui, à la maison en quelque sorte. T’es en sécurité, tu peux en être certaine. Au fond, tu sais d’ores et déjà que Soren ne te quitterait pas des prochains jours, que tu continuerais d’être en sécurité ainsi, mais tu n’y penses pas de façon consciente. Tu te contentes de regarder ton meilleur ami, toujours avec cette mine inquiète qui ne te quitte pas depuis que vous avez été séparés. T’as beau être la plus mal en point de vous deux, c’est pour lui que tu t’inquiètes. Ça ne t’empêche pas d’être vaguement consciente de ton état - disons que la douleur t’empêche de l’ignorer - si bien que tu annonces. « Je vais avoir besoin de ton aide pour… tout ça. » Tu fais un geste vague en direction du gros de tes brûlures, comme si ce serait plus clair. En soit, c’est pour nettoyer les blessures et sans doute même pour te débarrasser de tes vêtements abimés par les différentes terribles choses qui te sont tombées dessus. Ça aussi ça promet d’être douloureux, tu le sais déjà.
Mais au moins t’es saine et sauve, en quelque sorte. « Je sens que je vais avoir besoin de dormir pendant un mois pour me remettre de ce qui s’est passé. » Tu fais mine que tout ça ne t’a profondément troublée, que tu n’as pas cru mourir à plusieurs reprises. Que t’as eu peur pour ta vie, pour la sienne. Non, t’essaie d’être forte, comme tu t’es forcée à l’être dans la situation. Ça prouve que tu peux l’être au besoin, mais autant dire que tu n’as pas apprécié l’expérience.
Rien de tout ça n’aurait du arriver.
//

https://dichotomia.forumactif.com/t212-a-hero-form-o-soren-u-c#6

Soren Larsson

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Lun 14 Nov - 18:29

hold the girl
_{ft. la plus belle}

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Peu importe les conséquences, les interrogatoires, les examens auxquels vous auriez dû vous soumettre… S’en aller de cette terre de désastre le plus vite possible, telle était la priorité. Voir Peggy blessée et, en plus de ça, venir en aide à certains des individus ayant manqué de la protéger t’étais déjà assez éprouvant, tu ne souhaitais pas en rajouter une couche. D’autant que tu étais plus dur avec toi-même qu’avec quiconque d’autre. Tu étais indemne, tu avais combattu vaillamment et pourtant, la personne la plus chère à tes yeux, elle, se retrouvait sérieusement blessée. Par ta faute. Directement ou indirectement, peu importe, tu n’avais pas su la protéger. Tu n’avais pas été à la hauteur. A quoi bon faire viser l’excellence à tes pokémons si, quand le danger se manifestait, tu disparaissais loin de ceux qui te sont importants.

Ce festival a été une débâcle totale. Loin et haut dans les cieux, tu parcoures sur le dos de ta Drattak le chemin qui te sépare de ton havre de paix Fort-Divitien. Peggy est là, près de toi, néanmoins, tu n’arrives pas à te détendre. Le conflit est interne et les pensées s’entrechoquent. Ton sang ne fait que bouillir tandis que l’adrénaline de l’instant, elle, s’est estompée depuis longtemps. Tu n’arrives ni à te calmer, ni à te pardonner tes fautes. Tu voudrais être à sa place, être celui qui souffre, être celui qui a eu peur à l’instant où cette terrible attaque s’apprêtait à le frapper… Mais tu ne peux pas. Tu es condamné à être un rescapé. Celui qui a échappé à tout. Et ça, malheureusement, ça ne te plait pas. Pas au détriment de la Fawkes.

« Tu peux marcher ? » L’atterrissage de Laïka est doux, à l’arrière de ton terrain, dans le grand jardin devenu presque exclusif à tes pokémons qui prennent de plus en plus de place. Tu aides la demoiselle à descendre, puis rapidement, tu te détaches, ne forçant aucun contact physique, presque de peur d’en faire trop. Non, la réalité c’est même que tu as peur de faire quoique ce soit. Tu ne te considères pas digne, c’est idiot, mais c’est ce qui te hante à l’instant T. Quelle légitimité as-tu à l’aider et à la materner maintenant que le danger n’est plus ? C’est ainsi avec une certaine appréhension dans chacun de tes mouvements que tu accompagnes ta meilleure amie à l’intérieur, la forçant tout de même à aller s’installer dans ta chambre.

Son regard ne trompe pas, toutefois, à dire vrai, il t’agace. Tu as l’habitude des yeux océan de la belle posés sur toi, tu as également l’habitude de lui rendre ces échanges visuels souvent longs, langoureux et parfois un peu puérils. Cependant, tout a une saveur différente ce soir. Ses prunelles sont inquiètes, tu peux le lire aisément. C’est quelque chose que tu as du mal à comprendre. Tu vas bien, bien mieux qu’elle. Les seules blessures dont tu as écopé sont dans ta tête, issues du fait de la voir elle, dans un tel état.

A l’entente des mots de la brune, tu te lèves du lit sur lesquels tu l’as installé. En lui tournant brièvement le dos, tu te diriges vers l’espèce de buffet sur lequel repose tes pokéballs, dont celle de Diana que tu attrapes. « Je sais. » Tu n’as pas besoin du geste de Peggy pour identifier ses blessures. Tu as eu les temps de les imprimer au plus profond de ton esprit. Après une grande inspiration, tu te retournes de nouveau vers la joaillière, libérant dans le même ta Gardevoir. « Ça va être douloureux, allonge-toi. » Tu avances jusqu’au bord du lit, surplombant totalement ta meilleure amie alors qu’un regard triste se pose sur son visage. « Diana va t’apaiser au maximum avant que je ne nettoie les plaies, mais… » Ça ne fera pas de miracle, Peggy va devoir souffrir. Encore. « Je compte sur toi. » Ces mots-ci sont pour ton pokémon qui s’attèle immédiatement à sa tâche. Une utilisation alternée de Vibra-Soin et de Fontaine de Vie pour apaiser au maximum la Fawkes, pendant que toi, tu t’assois au pied du lit, dos à cette dernière, au moins le temps que ta Gardevoir ne la débarrasse de son haut en lambeaux et la couvre d’un drap de soie, là où elle n’a pas été amochée.

« Je suis désolé. » C’est bas. Tout bas. Mais vu le silence qui règne dans la chambre, c’est probablement assez pour être entendu.

Et puis… désolé de quoi ? De ne pas avoir été là quand elle en avait le plus besoin ? C’est une évidence. Mais il n’y a pas que ça. Peggy a prouvé aujourd’hui qu’elle était capable de se débrouiller, de survivre et de protéger autrui. Elle est forte, bien plus que la majorité des gens qui peuple cet archipel. Et pourtant tu ne peux t’empêcher de faillir. Tu ne peux pas t’empêcher de flancher, de douter, tu as en confiance en elle, mais tu ne veux pas la voir seule face au danger. Tu sais sa force, mais tu veux être là pour la protéger. Peggy est la personne en qui tu as le plus confiance, elle est celle que tu veux à tes côtés à chaque instant… Mais en même temps, aujourd’hui, tu aurais voulu la voir loin de toi. Le plus loin possible. A Johto, peut-être même. Parce que tu es égoïste et qu’elle est ta plus grande faiblesse. Si Peggy souffre, tu souffres. Et tout ça, ce n’était que l’occasion de te montrer qu’elle te rend bien plus vulnérable que tu ne l’es par toi-même. Tu t’es toujours pensé plus fort que tous les autres. Jusqu’ici, les choses t’ont plutôt donné raison. Aujourd’hui, ta force n’a pas suffi.

Quelle conclusion dois-tu en tirer ? Si tu n’es pas assez fort pour vous deux, alors tu n’es pas assez fort tout court. Et si tu n’es pas assez fort, le combat vaut-il le coup d’être mené s’il implique de voir ta personne meurtrie encore et encore ? Certainement pas.

Tu te relèves finalement pour te terrer aux abords du lit. Tombant à genoux sur le sol, tu laisses ta Gardevoir poursuivre ses manœuvres, effleurant simplement la main de la brune avec précaution.

« Je suis désolé d’être… » Faible. « … Je… Je ne voulais pas être séparé de toi, je t’ai cherché et… » Tu ne l’as pas trouvé. Puis tu as été obligé d’en protéger d’autres. D’autres qui n’étaient pas elle. « … Je suis désolé de t’avoir fait subir tout ça. » Parce qu’il n’y a pas que ces brûlures, il y a bien plus que ça.

▬

Invité

Mar 15 Nov - 9:34

hold the girl
_{ft. soren}

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T’hoches la tête à la question de Soren. Tu peux marcher oui, même si l’adrénaline t’a quitté depuis un bon moment déjà et que t’as l’impression que tous les muscles de ton corps te font terriblement souffrir. Il faut dire que tu n’as pas l’habitude de tous les utiliser de cette façon, d’être autant sur un pied d’alerte et d’avoir peur pour ta survie.
Franchement tu ne recommandes pas l’expérience à qui que ce soit d’ailleurs.
Pas que ce soit une conversation que tu risques d’avoir un jour. Il faudrait déjà que tu te remettes des événements de la journée, que tu ne sombres pas à cause de la fatigue, de tes blessures ou de l’inquiétude qui ne te quitte toujours pas. Ce sentiment dirigé vers Soren même s’il n’est pas amoché - parce que ce n’est pas des blessures visibles que tu crains. C’est tout le poids qu’il doit porter sur ses épaules. Tu le connais assez bien pour imaginer le raisonnement qu’il doit avoir, les pensées qui doivent le troubler. Mais tu ne veux pas insister, pas creuser dans sa tête s’il n’ouvre pas un minimum la porte. T’as appris depuis le temps.
T’es aussi trop mal en point pour réellement avoir le courage de le faire.
Il apparait donc plus important de régler le cas de tes blessures avant quoi que ce soit. C’est ce que veut aussi ton meilleur ami alors qu’il t’installe sur son lit et libère sa Gardevoir. Tu forces un sourire à l’intention de la fée, mais tu n’as pas plus de chance de la tromper, comme avec Soren. À la différence qu’elle peut très certainement capter tes émotions pêle-mêle et tu devrais t’excuser pour ce fouillis. Pas que ce soit le moment, encore une fois. Ton regard repasse vers ton meilleur ami alors qu’il évoque la douleur qui t’attend. « Il n’y aura pas de miracle. » Tu seras reconnaissante pour toute aide que Diana pourra t’apporter, mais tu ne t’attends à rien de magique. « Ça va aller. » Vas savoir si tu dis ça pour toi ou pour le jeune homme. Quoi qu’il en soit, ça ne fait pas plus de miracle. La douleur reste présente alors que la Gardevoir t’aide à te débarrasser de ton haut pour dévoiler l’entièreté de tes blessures. C’est remplacé par un drap de soie, une vague pudeur qui ne sert sans doute plus à rien à présent.

Pas qu’elle importe. Non, elle est vite chasser par les mots tout bas que souffle Soren. Des excuses qui brisent le silence et viennent te secouer. Tu voudrais t’énerver lui dire qu’il n’a aucune raison de s’excuser, mais tu n’as pas l’énergie pour ça. Tu n’as pas envie de le gronder non plus, ce n’est pas le moment. Alors c’est une voix douce qui traverse tes lèvres. « Tu n’as pas à t’excuser. » C’est la vérité après tout, personne n’aurait pu prévoir ce qui se passerait au Festival et dans le feu de l’action, vous aviez réagi au mieux. Tu ne pouvais pas et ne lui demanderais jamais plus que ça. Tu le connais assez pour savoir que s’il avait pu, il aurait été à tes côtés. Tu te relèves légèrement pour l’observer, contenant une grimace alors que tu déposes tes coudes sur le lit pour te supporter. Tu vois que ça ne plait pas à la Gardevoir qui continue ses manoeuvres, mais t’as besoin de le voir, de lui assurer que tu ne lui en veux pas.
Tu ne pourrais jamais lui en vouloir pour ce qui s’est produit.
Mais il s’excuse à nouveau et tu sens ton coeur se serrer. Tu ne veux pas voir Soren dans cet état. Il a toujours été un roc et le voir s’effondrer te fait presque aussi mal que les brûlures que Diana tente de gérer. Tu cherches sa main qui effleure la tienne pour la serrer, le seul geste qui te sera permis sans doute. « Ce n’est pas ta faute Soren. » À moins qu’il ait invoqué Volcanion, mais bon. C’est évident que ce n’est pas lui le responsable, sinon tu aurais été le plus loin possible du Festival. « Je te connais, tu m’aurais trouvé si tu avais pu. » Toi aussi tu l’as cherché, mais comment dire que t’as pensé à lui à chaque instant sans qu’il ne culpabilise encore plus ? À la place, tu forces un fin sourire sur tes lèvres - comme s’il était crédible - avant de poursuivre. « Il n’y avait rien à faire, c’est l’attaque du Volcanion qui m’a blessée. » T’as encore du mal à y croire, mal à te faire à l’idée qu’un Pokémon légendaire était devant vous il n’y a pas si longtemps. Ton coeur se débat dans ta poitrine et la panique menace de venir maintenant que l’adrénaline ne lui fait plus compétition. « Je suis contente que tu ne sois pas blessé. J’ai eu peur… » Peur qu’il lui arrive quelque chose, qu’il soit mis hors d’état par le légendaire. « Que tu fonces tête première pour sauver tout le monde. » Tu dis la chose avec légèreté comme si ça ne t’avait pas terrifier. Surtout que tu sais que ce ne serait pas pour sauver tout le monde.
Ce serait pour te sauver toi.
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Soren Larsson

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Mar 15 Nov - 13:05

hold the girl
_{ft. la plus belle}

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Il y a bien des fois où les simples mots de la Fawkes ont suffit à faire fuir tes doutes ou tes peines. Peggy a toujours été cette aide extérieure et salvatrice, capable de résoudre le moindre de tes problèmes ou de te soulager tes maux même les moins perceptibles. Une lueur dans la nuit qui te guide autant qu’elle t’éclaire, qui te rassure et te réconforte. Peggy t’est vitale, nécessaire même, dans un sens. Non pas que tu serves d’elle, la réalité est plus profonde que ça. Elle est juste là, au beau milieu de ton existence, au centre de cette dernière, même. Elle est cet épicentre vers quoi tout converge et sans elle, il n’y a plus rien. Qu’un chaos constant, que des ténèbres oppressantes, qu’un vide impossible à combler. Alors oui, évidemment, tu ne conçois pas l’idée de la perdre et tu ne te pardonnes pas le fait d’avoir failli laisser ça arriver.

Revenu auprès d’elle, tu laisses trainer tes yeux sur les plaies qui jonchent sa peau, les brulures qui la font souffrir, sans le moindre doute. Il y a cet éclat triste que tes prunelles trahissent… Tu ne partages pas sa peine, mais la voir ainsi te fait toi aussi souffrir. « Bien sûr que si… » C’est murmuré plus bas, mais le rappel de tes excuses amène la brune à se redresser, ce qui te fait grimacer, au même titre qu’elle. « Ne te… » Tu voudrais lui dire de ne pas forcer, de ne pas se surmener, se faire du mal, cependant, tu scelles finalement tes lèvres pour te taire et l’écouter.

Tu manques de couper ta partenaire maintes fois, néanmoins, tu parviens à te taire et l’écouter jusqu’à la fin, chose assez notable. Beaucoup de choses ne font que s’agiter dans ta tête et, étrangement, la main saisie de Peggy ne t’aide pas à te calmer. Tu n’aimes pas cet état, tu n’aimes pas cette situation, tu n’aimes rien de ce qu’a été cette journée. « J’aurais dû être là. » Ce n’est pas une volonté d’entrer en confrontation avec la Fawkes et ce qu’elle pense de tout ça, c’est simplement ton ressenti, ce qui te hante à l’instant T et ce que tu ne peux extraire de ton esprit borné. « Ma faute ou pas, ce n'est pas ce qui importe… j’aurais dû être là pour toi. Pour t'éviter tout ça. » Ta mâchoire se resserre en même temps que la pression sur la fine main de la joaillière s’accentue légèrement, tu cherches tes mots brièvement avant de reprendre. « J’ai essayé de te trouver. » C’est peut-être ce qui t’empêche de t’auto-flageller. « Pas assez, semblerait-il. » Ou pas. « Je ne cherche pas à protéger le monde. » Tu relèves ton regard, toujours un peu frustré de voir ta meilleure amie redressée et appuyée sur ses coudes. « Je ne suis ni un super-héros, ni le méchant de l'histoire. Tous ces gens… » Tu fronces un peu les sourcils. « Je me fichais de les protéger. » Ton esprit est flou et les mots qui s’en échappent sont un mélange de cette mixture nocive qui ronge tes songes. « Je ne sais pas pourquoi j’ai tant essayé. Pourquoi j’ai perdu mon temps face à cette Malamandre, pourquoi j’ai ordonné à Laïka de repousser la horde du Camerupt… Pourquoi j’ai eu l’idée de faire face au Volcanion. » Tu cèdes finalement, laissant ton front venir s’appuyer contre le matelas du lit, tête baissée. « Il n’y a que toi que je voulais protéger. Que ton sort qui m’importait. »

Et c’est là tout un dilemme moral qui ne fait qu’amplifier cette frustration qui sommeille en toi. Parce que tu n’as jamais été du genre à abandonner autrui. Tu as toujours accepté ta force et l’as toujours mise au service des autres. Jamais tu n’as regretté, avant aujourd’hui. « Je ne voulais pas les sauver eux. Je n’ai sauvé personne d’ailleurs. Tous ces morts, ces blessés… Ils n’étaient pas importants pour moi. Je voulais te rejoindre, je voulais être à tes côtés… Je ne comprends pas pourquoi… Pourquoi je suis simplement resté avec eux, loin de toi. » Tiraillé entre le cœur et la raison. Entre le devoir moral et les sentiments. Le voilà, ton combat le plus difficile.

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Invité

Mar 15 Nov - 16:35

hold the girl
_{ft. soren}

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Non, Soren n’a pas à s’excuser, de ça tu es certaine. Pourtant, c’est une autre paire de manche que de convaincre le jeune homme que c’est réellement le cas. Peut-être que c’est enfin le moment où vous déterminerez qui de vous deux est le plus têtu. La réponse pourrait surprendre alors que tu t’entêtes à te redresser pour le regarder lorsqu’il s’excuse à nouveau. Tu l’entends protester, mais puisqu’il ne termine pas sa phrase, tu ne dis rien sur la question. Tu le reprends, en revanche, sur l’idée qu’il serait responsable de tes blessures. Tu sais qu’il n’est pas d’accord avec toi, il n’a pas besoin de t’interrompre pour que tu le devines aisément, mais t’apprécies qu’il te laisser aller jusqu’au bout de ta pensée.
Même si c’est pour tout réfuter par la suite. Ça te ferait presque rire si la situation était différente, si tu n’étais pas forcée d’assister à une auto-flagellation qui te fait plus mal au coeur qu’autre chose. Tu t’efforces pourtant de ne rien dire, de le laisser faire sa pleine tirade comme il l’a fait pour toi. C’est difficile et par moment tu ne peux pas t’empêcher de grimacer. Parce que tu vois difficilement comment il aurait pu t’éviter tes brûlures sauf à les encaisser à ta place et même encore. Il aurait été capable de le faire, t’en es consciente, après tout, c’est toi qu’il cherche à protéger. C’est ça le problème, tu sais qu’il prendrait des risques inconsidérés pour t’éviter une quelconque souffrance, c’est ce qu’il dit en d’autres mots. Et ça c’est sans compter ce qu’il t’apprend avoir fait pendant que vous étiez séparés. T’as tellement de questions, de craintes qui découlent de ce qu’il affirme.

Mais tu ne dis rien.
En partie parce que t’as un noeud dans la gorge, une boule d’émotions causée par ce qu’il dit. Il te faudrait décortiquer l’effet que ça a sur toi, la raison derrière ça. Mais tu n’oses pas gratter sur ton ressenti de peur de ce que tu pourrais trouver en dessous. « Parce que t’es une bonne personne Soren, c’est aussi simple que ça. » C’est pour ça qu’il n’a pas tout laisser en plan pour te trouver. Oui, il se fichait peut-être des autres, mais pas au point de perdre son humanité. « Ou peut-être que tu sais que je t’aurais grondé si tu avais fait ça. » C’est plus léger cette fois, presque taquin alors que ta main libre vient caresser le haut de sa tête, tendrement. Il y a tellement de choses que tu voudrais dire, mais tu n’y parviens pas. « Je te serrerais dans mes bras si je pouvais tu sais. » Mais tu ne peux pas, sans risquer d’empirer tes plaies ou d’avoir mal. Tu le dis pour qu’il sache ce que tu ressens, qu’il comprenne que tu ne veux pas qu’il se sente ainsi. Ça n’a rien d’une solution miracle, mais c’est tout ce que tu peux faire pour l’instant.

Enfin ça et prendre la parole, une fois que tu auras trouvé les bons mots à dire. Il te faut un moment parce que tu ne cherches pas à confronter Soren ou même le contredire à outrance. « Tu m’as retrouvée quand t’as pu et je suis encore en un morceau. » Amochée oui, mais quand on regarde les autres blessés, on peut dire que ce n’est pas si mal. « Je suis capable de me défendre Soren. » Tu sais qu’il le sait, mais que ce n’est pas vraiment ce qui l’emporte dans sa réflexion. Tu n’as pas envie de débattre, tu sais que le creux du problème n’est pas un manque de confiance de sa part. « Et j’ai besoin de toi maintenant. » Pour s’occuper de tes blessures, pour te protéger maintenant que t’es affaiblie, pour t’apporter un réconfort après des événements difficiles. Bref, il pourra l’interpréter comme il le souhaite, t’espères juste qu’un appel à l’action le sortira de sa culpabilité.
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Soren Larsson

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Jeu 17 Nov - 20:13

hold the girl
_{ft. la plus belle}

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Tu exècres la faiblesse, plus encore quand elle est tienne. Dans un silence lourd et pourtant si court, tu t’abandonnes à ces scénarios absurdes dans lequel tu chevaucherais une Laïka épuisée pour aller brûler les restes d’une Organisation ébranlée. D’une Organisation qui a failli à sa tâche première et qui t’a forcé à voir celle que tu aimes souffrir. Ouais, c’est plus simple de se dire tout ça comme ça. Plus aisé de penser que tu as fait ton possible, que c’était LEUR rôle de vous prévenir d’une telle menace. Mais la simplicité n’a jamais été ton fort, jamais été ce confort dans lequel tu te complais. Tu aimes l’adversité, tu aimes porter cette cape dans ton dos et aujourd’hui, ça t’affecte plus que jamais ça n’a été le cas.

Parce que tu n’arrives à faire porter le fardeau à quelqu’un d’autre. « Je me fiche d’être une bonne personne. » C’est à moitié vrai. C’est un questionnement encore en cours dans ta tête. Tu ne sais plus où tu es, plus où tu vas. Cette prison grandeur nature t’as changé, mais jusqu’à quel point ? « J’aurais dû tous les abandonner à leur sort pour toi. Peu importe que tu me grondes ou non, tu n’aurais pas eu à vivre tout ça. » Malheureusement, entre ce que tu dis et ce que tu fais, il y a un monde. Un cap difficile à franchir. Parce que si à l’instant T, Peggy est bel et bien ta seule et unique préoccupation, lors des affrontements, tu n’avais pu te résoudre à laisser de faibles mourir sans agir. « Je ne veux pas être un monstre inhumain, mais si je dois choisir entre eux et toi… » Tu soupires finalement, le cœur lourd, incapable de réellement clarifier ton état-d ’esprit et la voie que tu veux suivre. Abandonner pour sauver, sacrifier pour libérer, tuer ou être tué… En es-tu réellement arrivé là ?

Tu redresses finalement la tête, te risquant à un rictus très discret, presque non-assumé, tandis que la Fawkes se laisse elle aller à l’humour et au réconfort. « Je ne m’en plaindrais pas. » Le savoir est une bonne chose, ça ne retire rien au fait que là, tu aurais bien besoin des bras de la jeune femme couchée sous tes yeux. « Mais ne fais pas de bêtises. C’est déjà assez grave comme ça. » Et dans ton état, la voir souffrir, ne serait-ce qu’un peu plus, pour toi, ça t’abattrait complètement. Tu te sens déjà bien assez coupable.

De nouveau sans couper la parole à l’originaire de Johto, tu te contentes d’attraper sa main avec plus de fermeté, de manière un peu moins apeurée, presque comme pour lui faire comprendre que tu ne campes pas sur tes positions, que tu entends ses arguments. « Je sais. » Qu’elle est capable de se défendre seule. Tu as vu ces innombrables cadavres sur le sol et si Peggy n’est pas parmi eux, c’est bel et bien parce qu’elle sait se débrouiller sans toi. Cependant, ce n’est pas le fond du problème. « Tu sais… J’ai appris à croire en toi depuis longtemps. Je sais que tu es forte et capable de réussir sans moi. » Tu es même probablement la personne qui croit le plus en elle. « Je suis juste un égoïste. » Tu étouffes rapidement un petit rire. « Moi, j’ai besoin de toi. Souvent. Tout le temps. Je te veux à mes côtés et je ne peux pas prendre le risque de te perdre. » Tu te détaches finalement d’elle pour te relever complètement, faisant comprendre à Diana qu’elle peut aller chercher de quoi nettoyer les blessures de Peggy. « Il n’y a pas que toi que je cherche à protéger… » Oui, il y a toi aussi. C’est un peu plus simple de faire ses aveux après un pas en retrait… D’autant que le retour de la Gardevoir est l’excuse toute trouvée pour ne pas s’y attarder et passer à autre chose.

« Tu es prête ? » Tu récupères les quelques soins collectés par ton Pokémon, préparant les tissus et les désinfectant pour les plaies de la brune. « Je peux demander à Diana de t’endormir, tu sais ? » Ça lui éviterait probablement de passer un très mauvais quart d’heure.

▬

Invité

Ven 25 Nov - 16:04

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_{ft. soren}

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Tu fronces les sourcils lorsque Soren affirme se ficher d’être une bonne personne. Tu te demandes à quel point il le pense, à quel point il est sérieux lorsqu’il affirme une telle chose. Tu ne penses pas qu’il pourrait vraiment devenir une mauvaise personne, pas comme ça, mais t’as peur de ce que les événements auraient comme conséquence sur lui - sur vous tous d’ailleurs. T’es contente qu’il n’ait pas abandonné tous ceux qui étaient avec lui, tu n’aurais pas pu vivre avec la culpabilité que ça aurait créé en toi. « Tu ne seras jamais un monstre inhumain Soren. » Tu l’espères du moins, tu ne sais pas comment tu le vivrais si jamais cette certitude devait être ébranlée. « T’aurais pas du les abandonner pour moi, t’as fait la bonne chose. » Surtout qu’au final, tu ne sais pas s’il aurait pu faire quoi que ce soit pour prévenir tes brûlures. Peut-être que l’idée d’être blessé à ta place ne l’aurait pas dérangé, mais toi ça te perturberait bien plus que tu ne pourrais l’admettre. Tu préfères la situation telle qu’elle est. C’est peut-être égoïste de ta part, mais tu t’es bien trop inquiétée pour lui pendant tout le chaos pour que tu puisses supporter qu’il soit réellement blessé. Tes brûlures guériront, tu pourrais prendre le temps de t’en remettre. Tu connais trop Soren pour savoir qu’il n’aurait pas forcément fait attention.
Donc c’est mieux ainsi.

Même si tu te retrouves bien incapable de lui remonter le moral ou de lui changer les idées. Le petit sourire qui se dessine sur son visage est une véritable victoire, mais ce n’est pas assez. Tu forces un sourire en réponse à ce qu’il dit. « Promis je reste sage. Je te serrerai dans mes bras toute à l’heure. » Quand tes plaies auraient été nettoyées et bandées de façon à être moins susceptibles de s’empirer au contact.
C’est pourtant difficile de résister devant les mots que Soren prononcent. Il y a bien sur la pointe de fierté de l’entendre dire qu’il sait que t’es forte, mais c’est plus que ça. C’est son égoïsme qui fait écho aux tiens, c’est un tout difficile pour ton coeur. Tu le sens se serrer, nécessairement, sans que tu puisses y faire quelque chose. Il y a des mots qui te viennent en tête sans que tu aies le courage de les prononcer ou même de t’y attarder longuement. « Tu ne peux pas me perdre. » Enfin c’est discutable considérant qu’un légendaire pourrait aisément mettre fin à ta vie, mais bon c’est un détail que tu préfères passer sous le tapis. « Je veux rester à tes côtés aussi et ce n’est pas un désastre comme ça qui m’en empêchera. » Pas même alors que ton corps te fait souffrir et que Soren se fait soudainement plus circonspect. « T’as une longue liste de gens à protéger c’est ça ? » Tu le taquines doucement, dans l’espoir que ça lui change les idées tout en sachant que ce ne serait sans doute pas le cas.

Et que de toute façon, toute amélioration de son humeur viendrait sans doute prendre fin lorsqu’il revient vers toi pour te désinfecter les plaies. T’hoches la tête, pas certaine d’être prête, mais certaine de ne pas pouvoir te préparer davantage. « Non ça va, je préfère être consciente. » Tu ne veux pas admettre que c’est parce que t’as terriblement peur de t’endormir et des rêves qui pourraient t’attendre. « Puis comme ça je pourrai te dire si quelque chose cloche. » En soit, tu pourras surtout lui dire à quel point t’as mal, mais il n’y a rien qui te ferait changer d’avis. La peur de tes cauchemars dépassent celle de ta douleur. « Juste, vas-y doucement s’il te plait ? » Une demande sans doute inutile aux vues de la situation, mais bon, ce n’est pas parce que t’as plus peur de dormir que t’es immunisée à ce qui t’attend.
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Soren Larsson

Rebellis Ombrage & Dresseur·se

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Region d'origine : Johto

Quartier : Fort-Divitia

Occupation : Bras Droit des Ombrage • Rebellis

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Palier débloqué : 5

Branche : Entraineur III | Éleveur II

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Ven 24 Fév - 11:20

hold the girl
_{ft. la plus belle}

Pokémons Présents

Ne jamais dire jamais. Peggy a beau être convaincue de bien des choses à ton égard, il t’est très difficile de t’en persuader également. Le monstre inhumain que tu menaces d’être ne te paraît pas très loin. De plus en plus proche, même. Évidemment, tu luttes, résistes pour ne pas finir par devenir ce que tu combats initialement, le rayonnement d’un combat intérieur qui prend de plus en plus d’ampleur et t’affectes davantage au fur et à mesure que le temps passe… D’autant que la réalité est complexe et il est bien plus difficile de lutter contre ton cœur que ce que tu as toujours cru. Parce qu’un monde sans Peggy te terrorise et te hante jusqu’au plus profond de ton âme. Peut-être est-ce le fait d’y avoir déjà goûté ? Encore que, tu la savais loin de toi, mais à l’abri, plus ou moins en sécurité et en bonne santé. La retrouver pour la perdre de nouveau et à tout jamais, c’est une épreuve que tu n’es pas prêt à surmonter et que tu ne pourras probablement jamais surpasser. La flamme s’éteindrait pour toujours. Un frisson te traverse alors que l’idée s’éternise dans ta tête… Pour ne jamais la voir t’échapper, tu mettrais ce monde à feu et à sang. Mais dans un cas comme dans l’autre, tu sais que le risque de la voir se détacher ou disparaître existe.

Tu te souviens des corps tranchés, amochés et sans vie, du goudron brûlant et de l’odeur agressive, tu te souviens du soleil scintillant brûlant et scintillant à son zénith, l’astre devenu presque aveuglant, mais pas assez pour t’épargner de ce triste spectacle. Tu te souviens de cet enfer dans lequel tu as failli tout perdre, où moult ont été écrasés comme de vulgaires cigares, d’insignifiants insectes. Ni l’idée ni le souvenir ne disparaîtront : le monstre que tu caches dévorera le monde entier pour pérenniser la présence de la Fawkes à tes côtés, tu en es convaincu.

Tu hoches la tête en revenant un peu à la réalité. « Hors de question. Tu me serreras dans tes bras après ta convalescence. » T’es même pas certain qu’avec la retombée d’adrénaline, ta compagne puisse se mouvoir sans générer d’horribles douleurs.

Les aveux de la belle sont une lueur qui éclaircit ton cœur, tu dois l’admettre. Après tout, il est toujours bon de savoir que ton ressenti est partagé. Le doute a toujours été quasiment inexistant, mais l’entendre de vive voix fait du bien. « Le fait de savoir que je ne peux pas te perdre rend la réalité plus difficile encore. » Parce que si rien ne semble pouvoir vous séparer tant vos âmes sont liées, la force brute et la mort elles le peuvent. Peggy ne semble pas décidée à te laisser sur le côté, alors tu dois tout mettre en œuvre pour éviter qu’on te l’arrache.

Tu rougis légèrement, te refrognant avec tout autant de légèreté, sans trop de sérieux, lorsque tu constates que ta dernière phrase a été mal comprise. « Non, ce n’est pas ça ! » Ce n’est pas que tu as plein de gens à protéger, c’est simplement qu’au-delà de vouloir être son bouclier à elle, tu veux préserver le vous qui semble prêt à naître.

« C’est promis, j’y vais à ton rythme. Si ça devient trop… » Tu lui adresse un petit signe de la tête, démontrant que tu es prêt à faire une pause à tout instant. Diana t’a ramené le nécessaire, les soins, les compresses, un genre de vase rempli d’eau avec une serviette humide, ce genre de trucs. L’ambiance est plus tamisée, les lampes n’éclairant plus que ce qu’il faut pour percevoir distinctement les blessures de l’éleveuse, et te voilà lancé.

Sans grande surprise, la douleur et l’épuisement auront eu raison de ta meilleure amie qui aura finie par rejoindre Morphée, laissant tous les feux s’éteindre et l’obscurité d’un sommeil profond la cueillir. Cela aura au moins facilité la désinfection des plaies et la mise en place des bandages… Plus simple de passer outre la gêne et votre pudeur respective dans ces conditions. D’autant que tu n’as pas tardé à suivre, t’installant à ses côtés une fois tout le nécessaire réalisé et l’emprisonnant dans tes bras comme pour profiter de la chance que tu as de la serrer contre toi une fois de plus.

Pour l’heure, te voilà assoupi à ses côtés, mais les conséquences du Festival Agricole sont encore loin d’être totalement derrière vous.

Défis 01, 03 et 06 de Février réalisés dans cette rep !

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